Question de lumières
Vendredi 22 janvier, alors qu'il pleuvait et que le terrain était peu praticable, le stade de football est resté allumé alors qu'aucun son ne matérialisait la présence de joueurs.
Dimanche 24 janvier, alors qu'il faisait un temps splendide et que le ciel était d'une luminosité exceptionnelle, à 14 h 20 les courts de tennis brillaient de mille feux sous l'effet des projecteurs évidemment nécessaires de nuit pour pouvoir jouer.
Ceci s'est passé à Couze alors que, au prétexte de faire des économies, Jean-Louis Lafage et son Conseil Municipal privent toute l'année d'éclairage nocturne bon nombre de citoyens couzots dont, par le plus grand des hasards, les anciens élus et leurs amis !
Ceci s'est passé à Couze alors que, au prétexte de la défense des intérêts d'EDF, Jean-Louis Lafage et son Conseil Municipal ont refusé d'adhérer au Groupement Aquitain d'Achats d'Electricité proprosé par le SDE 24 (Syndicat Départemental d'Energies de la Dordogne) qui aurait permis à la Commune d'économiser environ 15 % de sa facture de courant.
Véronique Dubeau-Valade, soucieuse de l'intérêt des habitants de Couze et Saint-Front, a alors alerté dimanche après-midi M. le Maire sur ces anomalies à la vue des courts de tennis éclairés en plein jour. M. le Maire lui a répondu ce matin via le secrétaire général :
J'ai bien enregistré vos remarques sur l'utilisation de l'éclairage de nos terrains de sport (tennis-foot) par nos associations.
Je fais totalement confiance aux dirigeants et Présidents de ces deux associations sur la gestion des équipements communaux mis à leur disposition.
Je fais part aux adjoints en charge du sport et des associations de vos remarques.
Je vous prie d'agréer, Madame, mes respectueuses salutations.