Que va devenir l'école de Couze ?
Elle fut un temps menacée et les équipes de la mandature 2008 > 2014 s'étaient mobilisées autour de leur maire au-delà des frontières territoriales pour que soit revue une décision qui était d'évidence inadaptée et inacceptable, mobilisation sans le soutien d'une partie de la population qui s'était malheureusement emparée du sujet dans un objectif politicien "anti-Dubeau Valade" primaire. Les maires de Baneuil et Cause-de-Clérans - Gérard Porchet et Bruno Monti - s'étaient associés à cette démarche collective qui impactait l'ensemble du RPI que les 3 communes composent et les 3 conseils municipaux avaient fait front commun face à l'administration pour gagner au final le maintien de la classe remise en question.
L'école de Liorac-sur-Louyre menacée aujourd'hui fait se mobiliser tout le village à son endroit..
Une forte mobilisation s'est déroulée samedi à Liorac-sur-Louyre, pour protester contre la possible fermeture de l'école. Il y avait des élus du village, derrière le maire Jean-Claude Monteil, des élus du canton et des parents d'élèves de Liorac, mais aussi de Saint-Félix-de-Villadeix, Saint-Georges-de-Montclar, Clermont-de-Beauregard, Saint-Martin-des-Combes et Saint-Marcel-du-Périgord, les six communes fonctionnant en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), qui compte quatre classes.
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Pendant ce temps-là à Couze, le Conseil Municipal vote à l'unanimité pour plus de 400.000 € la réorganisation du bloc mairie-école tout en laissant partir la maternelle à la rentrée prochaine, en s'inquiétant mollement de la perte d'une classe supplémentaire ... et en cherchant désespérement à récupérer des enfants de communes voisines ...
Dilemne pour le 1er adjoint : Philippe Franco laissera-t-il filer la classe tenue par son épouse ou bataillera-t-il pour maintenir la paix dans son ménage ?
Déshabiller Pierre pour habiller Paul, telle est la stratégie politique couzotte aujourd'hui ...