Palmarès des communes - Année 2013
Les élus d'aujourd'hui - le maire en tête - ne cessent de se retrancher partout derrière la mauvaise gestion qui aurait été celle de Véronique Dubeau-Valade et son équipe avant qu'eux-même ne reprennent en mains les destinées de la commune.
Et pourtant, l'Argus des communes note la gestion communale pour l'année 2013 ... 17/20 !
L'investissement opéré pour la rénovation de l'Etendoir - dont on voit aujourd'hui qu'il n'est hélas plus entretenu comme il l'était auparavant - a marqué une augmentation des dépenses en 2012.
2013 voyait un retour à la moyenne habituelle de dépenses. Ce montant s'avérait compatible avec les projets de l'équipe élue en 2008 pour les 6 prochaines années, projets qui ont été contrecarrés par une volonté politicienne malsaine.
Appelons un chat ... un chat !
Chacun dans le village connaît les conditions qui ont amené Jean-Louis Lafage et ses amis à être élus :
- projets de développement local retardés volontairement par la CCBDP ;
- mise en place de 3 listes contre l'équipe municipale en place avec :
- des conseils (ou instructions ?) donnés aux élus d'aujourd'hui dans le bureau du maire d'un village proche de quelques kilomètres ;
- accords écrits entre le PS et le PRG pour pousser des néo-Couzots à s'inscrire sur les listes électorales y compris de manière litigieuse et à y présenter des candidatures. Ces mêmes candidats d'hier - dont le comportement le jour de l'élection fut tellement colérique qu'il fallut fermer le bureau de vote pour le remettre en état - revivent déjà ailleurs aujourd'hui, les uns votant en Catalogne, un autre faisant son footing quotidien autour d'un lac des Pyrénnées-Orientales, une autre employée désormais dans un lycée à Perpignan ... ;
- un troisième est actuellement ami "Facebook" d'un candidat aux prochaines élections départementales tout en suivant la campagne d'un autre !
Cet épisode de la vie de notre commune ne marquera pas la progression de la démocratie dans notre village.
Il saura par contre alerter - le Papotier n'en doute pas - sur la nécessité qu'il y a de juger les hommes et femmes qui se présentent à des élections locales sur leur capacité à rassembler dans l'intérêt de la collectivité et non dans des objectifs strictement politiciens ou personnels.
Aujourd'hui encore, Jean-Louis Lafage - représentant de l'Etat et disposant du pouvoir de police - et son équipe municipale ne permettent pas l'accès à l'Etendoir à une association de Couze dans les mêmes conditions que les autres ... alors même que cette ségrégation est contraire à la loi !
Seul le respect de la démocratie, loin des sectarismes politiciens, permettra de combattre les extrêmes qui n'apportent rien sur la durée ...