Un collectif de riverains – auxquels participaient les futurs élus Patrick Mazeau, Annie Monceau et Véronique Gauthier – avait alerté le Conseil Municipal sur les nuisances liées à la présence de pavés sur la route départementale.

Dès 2008, le nouveau Conseil Municipal décidait par sagesse d'attendre que soient réalisés les travaux d'élargissement du pont de Lalinde et la fin de la déviation conséquente par le centre de Couze pour faire le point sur la situation.

Or, il s'avère que non seulement la fréquentation élevée – notamment de poids lourds – pendant la période de déviation mais encore les hivers rigoureux qui ont suivi ont sévèrement altéré la situation.

Des infiltrations d'eau, des tassements, des descellements sont évidents … Cela induit une caisse de résonnance qui génère des nuisances sonores telles qu'elles provoquent le départ de résidents au Camping des Moulins (conséquence économique) et perturbent la tranquillité des habitants de TOUT le centre bourg (conséquence humaine et sociale).

Les tassements de chaussée aux emplacements de bouches d'égouts et autres ouvertures de réseaux provoquent des trous qui peuvent générer des accidents de "deux-roues".

Certes, Monsieur le Président Cazeau a indiqué à Madame le Maire s'être opposé à l'installation de bandes de pavés sur une voie aussi passagère – ce en quoi Véronique Gauthier l'aurait approuvé si elle avait été élue au moment de la prise de décision – mais ces pavés sont bel et bien là … Naturellement descellés, ils provoquent les mêmes risques liés aux trous dans la chaussée mais il leur arrive aussi de … s'envoler !!! Le risque qu'ils retombent sur un véhicule ou sur un homme est réel.

Les travaux d'élargissement du pont ont été terminés en juin 2011.

Il était convenu que les voies de déviation seraient réparées dans la foulée.

Si tel avait été le cas, la sévérité des dommages sur la "traverse" de Couze ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui malgré les épisodes de neige et de gel qui ont été vécus lors des deux derniers hivers.

Madame le Maire a alerté à maintes reprises la C. C. B. L., ex-communauté de communes à laquelle adhérait notre commune et qui avait la compétence "voirie" pour notre compte.

Madame le Maire a alerté à maintes reprises le Conseil Général en charge de la voirie départementale sur la gravité de la situation.

Mais les nuisances sonores perdurent  … Mais le danger perdure …

Après un entretien récent sur le sujet avec Monsieur Serge Merilllou, conseiller général, en présence de Madame Annie Monceau, 1er adjoint, il a été convenu de l'envoi d'un nouveau courrier dont vous trouverez l'intégralité en cliquant ici.

La Commune attend aujourd'hui que le Conseil Général apporte  maintenant des réponses de toute urgence, réponses concrètes non en termes de délais mais en termes de réalisation.